La démotivation est un sujet régulièrement demandé. Que ce soit pour se motiver ou motiver les autres.
niveau 1 de la démotivation
Il faut dire que notre métier, entre la fatigue physique et les tensions mentales on a de quoi se sentir parfois un peu ramollo.
Jusque là rien de bien grave. Les passages à vide n’ont rien d’anormal, et d’ailleurs tous les métiers y sont sujets dans une plus ou moins grande mesure.
Des fois on a la gniac, et pour les autres fois, il suffit souvent de se reposer, ou une bonne nouvelle, ou mettre l’accent sur les choses positives pour que ça reparte.
Allez! on va dire qu’avec le manque de motivation passager comme celui-ci on est au niveau 1 de la démotivation
Niveau 2 de la démotivation
Au niveau suivant, on commence à s’user.
Là on a accumulé un certain nombre de mauvaises nouvelles ou de petits accidents, factures, mauvaises performances, ou tout simplement on fait la même chose depuis trop longtemps et on en est devenu robotique
Dans ce niveau 2 de la démotivation on va trouver, le salarié à qui on a promis des choses que l’on a pas vraiment tenu, le chef d’entreprise qui depuis un certain nombre d’année gère les problèmes de l’entreprise continuellement, et il faut bien le dire au bout d’un moment…. ou on se retrouve coincé dans un problème que l’on pense impossible à résoudre
Sur ce niveau 2, la simple bonne nouvelle ne va pas suffire à vous faire retrouver un sourire durable.
Il y a deux ingrédients qui ont toujours solutionné la chose:
- reprendre l’objectif de départ et le raviver (ou en changer pour un trouver un qui vous donne le sourire)
- Faire preuve de créativité (autrement dit: Ciao les solutions toutes faites où vous vous ennuyez!)
Et pour finir… le Niveau 3
Pour ce qui est du niveau 3, là on frise la situation où tout semble perdu. Les problèmes sont tels que l’on a plus l’impression que l’on puisse y faire quelquechose.
Etonnament, même si la situation semble perdue pour la personne, il n’est pas rare que la situation puisse être totalement inversée et parfois même rapidement.
Le tout est de revoir le positionnement complet de la situation avec le point de vue de changer. Et de s’y mettre vraiment.
Comme par exemple, un restaurant dans une petite ville qui périclitait, les dirigeants ne voyaient leurs revenus diminuer d’année en année. Un jeune a racheté le fonds de commerce, et, sans y avoir fait des investissements au départ, le nombre de couvert et le prix moyen du couverts se sont mis à monter en flèche.
En bref! rien que les anciens propriétaire n’auraient pu faire.
Dans ce message on aborde le manque de motivation, la prochaine lettre d’information sera sur la stratégie, la suivante sur comment tirer parti de sa motivation.
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